L’aloé véra

On dit souvent qu’un aphte fait mal pendant 9 jours, depuis son apparition à sa disparition totale. Pourtant, il existe de nombreux remèdes pour atténuer votre douleur et la faire disparaître totalement. Parmi eux, il y a l’aloé véra qui se distingue par ces vertus thérapeutiques En effet, grâce à ses propriétés analgésiques et antibiotiques, ce dernier vous apportera un extrême confort si votre aphte vous fait souffrir. Entre autres, cette plante pourrait vous aider à protéger votre peau contre les coups de soleil.

L’argile verte

En réalité, l’argile verte est vraiment efficace contre les piqûres d’insectes. Pour cela, il suffit d’appliquer de la pâte d’argile verte sur la piqûre d’insecte, le laisser reposer pendant quelques minutes et le rincer doucement après. Aussi, vous pouvez ajouter à votre mixture une ou deux gouttes d’huile essentielle de lavande pour optimiser son effet.

La badiane

Autrement appelée anis étoilé, la badiane est un excellent remède contre les troubles digestifs comme le ballonnement et le vomissement. Une bonne tisane de badiane pourrait vous aider à aller mieux. Pour cela il vous suffit de mettre 4 étoiles de badianes dans une grande tasse d’eau et de les faire bouillir durant quelques minutes. Après cela, retirez-le du feu, laissez infuser pendant 10 min et buvez. Il serait préférable de le boire avant d’aller se coucher. Par ailleurs, si vous avez des irritations des bronches, vous pouvez également utiliser de la badiane.

Le miel

Le miel est extrêmement célèbre pour ses vertus apaisantes. En cas d’irritation de la gorge, il vous suffit de le mélanger avec de l’eau chaude et de le boire ou de le consommer directement à la petite cuillère. Aussi, le miel est connu pour apaiser les brûlures de la peau. Pour cela, il vous suffit de l’appliquer sur la surface brûlée et laissez reposer une quinzaine de minutes.

Les principes actifs

Les principes actifs agissent en général à doses infinitésimales et sont souvent toxiques au-delà de ces doses. Afin de faciliter leur administration, ils sont incorporés dans des excipients spécifiques. A doses insuffisantes, par contre, les médicaments vont permettre d’habituer les microorganismes aux principes actifs qui sont censés les tuer. Ce phénomène d’accoutumance est le plus grand danger de la désorganisation de la distribution de médicaments, notamment des antibiotiques. Les principes actifs sont les éléments de base et sont contenus dans les médicaments génériques.
Les usines pharmaceutiques réalisent parfois des combinaisons de principes actifs, entre eux ou avec d’autres ingrédients pour booster les effets des médicaments.

Dangers des médicaments

Les médicaments trop facilement accessibles sont pris sans prescription médicale dans la majorité des cas. Dans ces situations, les doses ne tiennent compte ni des corpulences, ni des antécédents médicaux, ni des contre-indications. Les gens ne se rendent pas compte du danger des médicaments pris hors contrôle médical. D’ailleurs, contrairement à l’idée populairement répandue, ce ne sont pas les personnes peu instruites qui prennent des médicaments à tort et à travers mais bien les personnes cultivées qui prétendent connaître leurs maladies et leurs médicaments. Or ils ne réfléchissent ni aux contre-indications, ni aux interactions médicamenteuses. Le seul avantage envisageable des médicaments délivrés en dehors des pharmacies réside dans le fait que beaucoup d’entre eux ne contiennent aucun principe actif et agissent comme des placebos et renforcent malgré eux le système immunitaire.
Il faut signaler que tous les produits vendus en pharmacie ne sont pas des médicaments. Les compléments alimentaires et les alicaments fleurissent jusqu’aux rayons des supermarchés.

Qu’est-ce qu’une matière biologique de catégorie B ?

Chaque marchandise est classée dans une catégorie lors de son transport. Les matières infectieuses qui peuvent provoquer une maladie mortelle ou une invalidité permanente chez l’homme ou l’animal sont classées dans la catégorie A, affectée au N° UN 2814 et UN 2900.

Les autres matières infectieuses constituent la catégorie B, affectée au N° un3373. La désignation officielle de transport est « matière biologique, catégorie B ». Ce sont des agents pathogènes qui ont un risque plutôt faible en cas de rejet.

Il peut s’agir de sang et de ses composants, de tissus humains ou animaux, des parties du corps (nécessaires pour des recherches scientifiques), des fluides tissulaires, etc. Ces derniers peuvent servir pour des expériences en laboratoire par exemple.

Les exigences d’emballage pour le transport des matières biologiques UN3373

La norme UN3373 exige des emballages spécifiques pour l’envoi des matières biologiques, catégorie B. L’emballage UN 3373 comprend notamment trois éléments :

. Un ou plusieurs récipients primaires qui contiennent la matière ;
. Un emballage secondaire qui pourra protéger les emballages primaires ;
. Un emballage extérieur qui protège la chaîne du froid.

Il est important que les emballages UN 3373 soient suffisamment solides et de bonne qualité. De cette manière, ils pourront résister aux charges qu’ils peuvent subir pendant le trajet, ainsi qu’aux divers chocs. Ils doivent également être fabriqués et fermés de façon à ne pas permettre des fuites causées par les variations de température, les vibrations, etc.

Les exigences d’emballage pour les matières liquides

Les récipients primaires et l’emballage secondaire doivent respecter des exigences de résistance mécanique et d’étanchéité, selon la matière transportée. Pour les matières liquides :

. Les récipients primaires doivent contenir moins de 1 litre et être parfaitement étanches ;
. L’emballage secondaire doit être étanche ;
. S’il faut placer plusieurs récipients primaires fragiles dans un seul emballage secondaire, il faut s’assurer qu’ils soient enveloppés individuellement ou séparés pour empêcher qu’ils se mettent en contact ;
. Le récipient primaire et l’emballage secondaire seront séparés par un matériau absorbant. Si c’est de la ouate, il faut s’assurer qu’elle absorbe la totalité de substance liquide libérée par le récipient primaire ;
. Les récipients primaires et l’emballage secondaire doivent résister à une pression interne de 95 kPa ;
. L’emballage extérieur doit contenir moins de 4 litres (azote liquide, glace et glace sèche exclus).

Les exigences d’emballage pour les matières solides

En ce qui concerne l’emballage UN3373 des matières solides :

. Les récipients primaires doivent être étanches aux pulvérulents et ne doivent pas excéder la masse maximale de l’emballage extérieur ;
. L’emballage secondaire doit être étanche ;
. S’il faut placer plusieurs récipients primaires fragiles dans un seul emballage secondaire, il faut s’assurer qu’ils soient enveloppés individuellement ou séparés pour empêcher qu’ils se mettent en contact ;
. L’utilisation d’un matériau d’emballage approprié pour les liquides et les matériaux absorbants, en cas de doute sur la présence de liquide résiduel dans le récipient primaire pendant le transport ;
. L’emballage extérieur ne doit pas contenir plus de 4 kg (azote liquide, glace et glace sèche exclus), sauf pour les colis contenant des corps entiers, des parties de corps ou des organes.

Pour en savoir plus sur l’instruction d’emballage P650, faites un tour sur les sites spécialisés.

De l’automédication

Les brûlures d’estomac figurent parmi les troubles que vous pouvez vous-même traiter par de l’automédication. Que vous les ayez de façon répétée ou de façon occasionnelle, vous pouvez vous procurer les médicaments qui peuvent vous soulager très vite. Il existe par exemple des antiacides à action rapide, à base de magnésium de sodium, de sels d’aluminium et de calcium. Ces antiacides agissent pendant 1 à 2 heures et ils sont à prendre dès que vous avez mal ou même en prévention. En cas de remontée acide, vous pouvez utiliser de l’alginate qui va protéger la muqueuse de l’oesophage. Ce gel isole cette muqueuse, la préserve, en se formant autour du contenu gastrique.

Des médicaments adaptés

Si vous souffrez de brûlures d’estomac plus d’une fois par semaine, de l’inhibiteur de la pompe à protons est le plus indiqué. C’est un médicament dont le rôle est de réduire la sécrétion acide de l’estomac et son action est puissante mais aussi prolongée. A prendre une fois par jour avant le repas et le soir si c’est surtout la nuit que vous êtes incommodé par ces brûlures, mais attention à ne pas dépasser 3 à 4 semaines de traitement. Seulement, ce médicament n’agit que 2 à 3 jours après la première prise. Évidemment, si ces médicaments ne vous soulagent pas, consultez votre médecin car peut-être que vous souffrez d’autres choses, d’une autre maladie pourrait empêcher les médicaments d’agir efficacement.

Il importe d’être vigilant

On n’hésite même pas à en acheter sans ordonnance, tellement on en est habitué, on connaît les doses qui nous conviennent, on est sûr de soi. Cependant, au fil des ans et des études, il s’avère que plusieurs anti-inflammatoires présentent des risques élevés pour la santé, et bien qu’on soit familier avec certains d’entre eux, la plus grande vigilance est de mise. L’Agence du médicament ne cesse de multiplier les avertissements, aussi bien à l’adresse des professionnels de la santé qu’aux patients et au public en général. Les effets indésirables de certains de ces anti-inflammatoires dépassent de loin les bienfaits qu’ils apportent, raison pour laquelle l’Agence du médicament met en garde toute la population sur les précautions à prendre par rapport à quelques-uns d’entre ces AINS. Désormais, on devrait inverser les réflexes, ce qui veut dire ne pas prendre certains anti-inflammatoires comme premier médicament.

Ce que l’on ignore

On sait par exemple que les anti-inflammatoires soulagent la fièvre et les douleurs et quelquefois certaines formes du rhumatisme. Mais ce que le commun des mortels ne sait pas, c’est que les anti-inflammatoires ne soignent pas le mal de dos. Le fait est que, tout simplement, à la base, ils n’ont pas été fabriqués dans ce but. Ce sont les douleurs d’origine inflammatoire que les AINS soignent, c’est-à-dire les migraines, les foulures, les entorses, les tendinites, la sciatique, l’arthrite, l’arthrose et les règles douloureuses. Les douleurs de dos ne font pas partie de l’indication de ces médicaments. Il est vrai que, parfois, sur certaines personnes, les anti-inflammatoires semblaient les soulager de leur lombalgie. Mais la réalité est que seulement une personne sur six en aurait été soulagée. Des chercheurs avancent même que du placebo serait plus efficace que les anti-inflammatoires pour soulager le mal de dos. Donc, inutile d’ouvrir sa boite d’anti-inflammatoire en cas de lombalgie, il vaut mieux consulter pour avoir un traitement plus approprié et certainement plus efficace. On ignore également que les anti-inflammatoires augmentent le risque de varicelle, de zona, d’angine, d’otites, d’infection dentaire et d’infection pulmonaire. L’ibuprofène et le kétoprofène sont responsables de nombreuses complications infectieuses graves entraînant l’hospitalisation de ceux qui en ont consommé.

Que faire en automédication ?

Le premier conseil des autorités sanitaires est de toujours commencer une automédication par le paracétamol. C’est un antalgique sûr, que l’on doit prendre en dose de 500 mg au début et aller jusqu’à 1 g au besoin. Que faire si la fièvre ne baisse pas ou si la douleur persiste au bout de 2 jours ? Il est possible de prendre un anti-inflammatoire à associer ou non avec le paracétamol. Pour commencer, l’ibuprofène est à prendre en comprimé de 200 mg, puis passer au 400 mg si le soulagement n’arrive pas. Dans tous les cas, ne jamais dépasser les 1 200 mg par jour. Mais si on ne veut pas se traiter en automédication, on consulte et on peut obtenir du diclofénac sur ordonnance. Cependant, il ne faut pas oublier que le risque de problèmes cardiovasculaires graves est élevé avec cette molécule en prise par voie orale. On parle de AVC, de fibrillation auriculaire, d’insuffisance cardiaque, etc. Une étude d’envergure menée par des chercheurs danois l’an dernier a montré que ces problèmes se sont manifestés même chez des personnes ne présentant aucun facteur de risque.

Les informations à garder à l’esprit

Il est donc établi qu’une grande vigilance s’impose quant à la prise d’anti-inflammatoire non stéroïdien. Le diclofénac, par exemple, présente un risque de 20 à 30 % de plus que les autres anti-inflammatoires non stéroïdiens et ce risque est le même en dépit du fait qu’on les prend à petites doses et sur une courte durée. La prise d’ibuprofène au-delà de 2 400 mg par jour augmente le risque cardiovasculaire. Pour ceux ont de problèmes cardiovasculaire et souffrant d’hypertension, la dose d’AINS doit être au minimum et seulement pour un traitement de 1 à 3 jours maximum. Pour les insuffisants rénaux, les insuffisants cardiaques et ceux qui ont été victimes d’un infarctus du myocarde, la prise d’AINS est tout simplement proscrite. Ce que personne ne doit oublier, c’est qu’en supprimant l’inflammation, en prenant des anti-inflammatoires, on supprime aussi un mécanisme naturel de défense de l’organisme et c’est cela qui favorise l’apparition des infections. De plus, en cas de foyer infectieux, c’est-à-dire une angine, une otite ou un abcès dentaire, la prise d’anti-inflammatoire n’est pas du tout conseillée. L’infection sera alors masquée, le diagnostic de l’infection retardée, ce qui serait grave pour le patient.

Trouver une pharmacie en ligne autorisée

Les pharmacies en ligne ou e-pharmacies doivent être rattachées à une pharmacie physique pour pouvoir vendre des médicaments. Le pharmacien doit obtenir une autorisation venant de l’Agence régionale de santé ou délivrée par le ministère de la Santé.
Toutes les informations concernant la pharmacie en ligne doivent figurer sur le site de l’e-pharmacie : les noms des pharmaciens ainsi que leurs numéros RPPS, l’adresse de la pharmacie physique, toutes les coordonnées, le numéro de licence de la pharmacie, les coordonnées de l’Agence nationale de sécurité du médicament et le nom et l’adresse de l’agence régionale de santé.
Pour être certain d’acheter des médicaments non falsifiés en ligne, il est conseillé de choisir une pharmacie en ligne autorisée et listée sur le site du conseil de l’ordre des pharmaciens. Cette liste est régulièrement mise à jour.

Comment faire une commande de médicaments en ligne

Pour se procurer des médicaments sur une pharmacie en ligne, il est obligatoire de répondre à un questionnaire concernant son état de santé. Ceci fait, l’on peut passer sa commande. Si besoin est, il est possible de demander les conseils du pharmacien en ligne. Il est à rappeler que seuls les médicaments ne nécessitant pas d’ordonnance peuvent être vendus en ligne. Cela concerne notamment les médicaments pour le traitement des maux de bouches, des problèmes de digestion, des douleurs, de la fièvre, du rhume, de la toux et du mal de gorge. Ceci étant, des pharmacies en ligne proposent aussi un service d’achat de médicaments sous ordonnance. Dans ce cas, le patient doit envoyer un scan de l’ordonnance par mail afin de passer commande. L’ordonnance utilisée doit être à jour. Ensuite, il doit solliciter un coursier pour remettre l’ordonnance originale sous pli pour récupérer les médicaments à la pharmacie ou se les faire livrer. La préparation de la commande doit se faire par le ou les pharmaciens responsables. Dans tous les cas, pour une livraison rapide, il est plus pratique de choisir une pharmacie près de chez soi. Sur https://www.pharmacie-ouverte.com, vous pouvez faire une recherche rapide des pharmacies les plus proches de chez vous. Voyez si elles ont un site web. Si oui, faites votre commande en ligne pour gagner du temps.

Pourquoi acheter ses médicaments sur une pharmacie en ligne ?

Acheter ses médicaments sur une pharmacie en ligne comporte plusieurs avantages. Déjà, les pharmacies en ligne sont disponibles 24 h/24 et 7 J/7.
Se procurer ses médicaments sur une pharmacie en ligne lorsqu’on n’a ni le temps ni le pouvoir de se déplacer est toujours avantageux.
C’est également pratique lorsqu’on habite dans un endroit isolé et trop éloigné pour trouver une pharmacie. La livraison ne se fait pas dans l’heure qui suit, mais avoir l’assurance de recevoir ses médicaments est déjà important.
Si vous avez besoin de conseils, il est possible de communiquer avec le pharmacien responsable de l’e-pharmacie par échanges de mails ou via un système de tchat.

Une nouvelle étude sur le paracétamol vient d’être publiée dans la revue Social Cognitive and Affective Neuroscience. Les scientifiques ont mis en évidence les différents effets secondaires de cet antidouleur si populaire. En effet, ce médicament représente un danger public.

Le paracétamol réduit la sensibilité

Les chercheurs de l’université d’Oxford ont publié dans la revue Social Cognitive and Affective Neuroscience que le paracétamol fait plus de mal que de bien. En effet, ce médicament agit directement sur le système nerveux. Pris sur le long terme, il réduit la capacité à ressentir la douleur. Pire, il crée une sorte de dépendance. Les personnes qui prennent régulièrement des antidouleurs le font même lorsqu’elles peuvent surmonter la douleur naturellement. Elles ont même tendance à augmenter la dose pour moins ressentir la douleur.

Ce médicament inhibe la compassion

Le paracétamol ne crée pas l’addiction. Sans être à l’origine d’un véritable problème psychologique, il agit négativement sur la perception des choses. En effet, les personnes qui ont l’habitude de prendre du paracétamol ont une mauvaise conception de la douleur, qui devrait normalement faire partie de la vie. Elles sont ainsi incapables de ressentir ce que les autres subissent lorsqu’ils souffrent. Les scientifiques avancent que c’est la compassion même qui sera réduite auprès des habitués du paracétamol.

Divers problèmes pour l’organisme

L’automédication est une pratique que le personnel de la santé reproche à de nombreux patients. Outre la prise d’antibiotiques, l’administration d’antidouleur constitue également un véritable problème sociétal. Avec le paracétamol, le risque pour le foie est réel lorsque l’habitude s’installe. Les résidus sont difficilement éliminés à partir d’un certain dosage. Encore plus alarmant : le magazine British Journal of Clinical Pharmacology a récemment publié qu’une prise normale pourra toujours causer des légions. L’hépatite fulminante pourra apparaître dès que le patient prend le médicament pendant environ 7 jours de suite.

Le Viagra est peut-être le médicament le plus connu pour le traitement de la dysfonction érectile. Son rôle est de détendre les muscles qui se trouvent dans les vaisseaux sanguins et donc d’augmenter le flux sanguin vers le pénis lorsque la personne est excitée sexuellement. De nombreux hommes sont séduits par ce médicament mais savent-ils les effets secondaires et les précautions à prendre par rapport au Viagra.

Précautions lors de la consommation de Viagra

On devrait seulement acheter et prendre du Viagra s’il est prescrit par un médecin. Il y a un certain nombre d’effets secondaires et d’avertissements dont un profane normal peut ne pas être au courant et, par conséquent, il doit être pris sous surveillance médicale. L’automédication n’est pas conseillée.
Le pamplemousse devrait être évité tout en consommant du Viagra parce que le pamplemousse réduit l’effet sur le Viagra et dans ce cas, vous devez consommer plus de pilules qui conduisent à un niveau toxique. Lorsque pris avec de l’alcool, il provoque des maux de tête, des étourdissements et des maux d’estomac. Vous ne devez pas prendre de Viagra si vous prenez des médicaments à base de nitrate. Si le Viagra est pris en association avec ces traitements, cela peut provoquer une baisse soudaine de la tension artérielle et faire que la personne se sente faible ou étourdie. Cela pourrait également entraîner une crise cardiaque ou même un accident vasculaire cérébral.

Les effets secondaires du Viagra

Les effets secondaires de Viagra comprennent des maux de tête, des rougeurs au visage, au cou et à la poitrine, une indigestion et des maux d’estomac, une vision anormale, des maux de dos, ou des douleurs musculaires.
Les effets secondaires les plus graves sont les suivants: perte de la vue, perte auditive ou bourdonnement dans les oreilles, battements cardiaques irréguliers et douleurs thoraciques, essoufflement, etc.

La mondialisation du secteur pharmaceutique par la traduction

L’interprète et le traducteur participent à la mondialisation ! Sans eux, il y aurait un énorme problème de communication alors que celle-ci est la base des échanges, qu’elles soient financières ou non. On le sait, les médicaments voyagent ! Or, un praticien et un patient au fin fond de l’Afrique par exemple, ne comprendront pas forcément l’anglais si la notice est rédigée dans cette langue. Le malade habitant dans une petite ville des USA ne sera pas capable de « déchiffrer » la devanagari (écriture indienne) alors que c’est exactement de « ce » médicament produit par un laboratoire pharmaceutique en Inde dont il a besoin. Et que dire de ces génériques fabriqués par les laboratoires chinois et dont la notice est en sinogramme ? Vous comprenez alors l’intérêt de la traduction médicale. Sans elle, il serait difficile de prendre un médicament créé dans un autre pays où l’on parle une langue totalement différente du français ou de l’anglais ou de l’espagnol. C’est à ce titre que ce domaine de la traductologie apporte sa pierre à l’édifice de la mondialisation dans le secteur de la santé et des produits pharmaceutiques.

Une profession qui exige beaucoup de celui qui la pratique

S’il y a un métier ou une profession qui demande une mobilisation cérébrale intense, c’est bel et bien la traduction médicale. Déjà, à la base, traduire un texte n’a rien à voir avec la simple maîtrise d’un vocabulaire. C’est le sens de la phrase, du paragraphe, du chapitre qu’il faut saisir et transmettre aux lecteurs. Alors, vous imaginez la difficulté de l’exercice lorsqu’il est appliqué à un domaine spécialisé ! Aucune erreur n’est tolérée, car il y va de la vie des clients. On ne peut non plus rester dans l’ambiguïté. À la lecture de la notice, tout doit être clair, le texte doit être concis et le lecteur ne doit avoir aucune hésitation. Après tout ce qu’il vient d’être expliqué, on peut comprendre qu’il est nécessaire de suivre une méthodologie pour pratiquer cette traduction. Mais aussi, des compétences précises sont attendues du traducteur. On a pris l’exemple des médicaments, mais cette profession exerce également dans les descriptions des études scientifiques et cliniques, dans les comptes-rendus et conclusions de recherches médicales. Un médecin par exemple peut mener un double parcours en suivant des cours de traductologie à l’Université. D’ailleurs, ce double cursus est particulièrement recommandé dans la mesure où les articles, les livres, les documents sur lesquels travaille le traducteur concernent des domaines pointilleux : l’anatomie par exemple ou la physiologie et surtout la pathologie. Enfin, il faut savoir que les deux principales difficultés ont trait à la langue de spécialité.

Les différentes méthodes contre l’acné

 
 
Il y a de multiples façons de guérir l’acné, dont les soins sont les plus connus. Pour les boutons d’acné à l’adolescence, il n’y a que le nettoyage qui s’avère le plus adapté. Il faut au moins le faire deux fois par jour en utilisant un savon doux ou bien un lait nettoyant.
 

Il existe aussi des plantes qui ont de grandes vertus en matière de traitement d’acné. Étant une méthode naturelle, la phytothérapie ou le remède à base de plante est de plus en plus prisé. Le pissenlit, la bardane et l’avoine sont les plus connus pour lutter contre ces boutons désagréables.
En cas d’acné avancée, les médicaments sont souvent recommandés. Ils sont à utiliser pour des traitements locaux. C’est le cas notamment des pommades et des crèmes. Ils se démarquent en tout cas pour leurs propriétés antiseptiques et antibiotiques.
 
 

Avec l’évolution de la technologie, l’utilisation de laser est devenue une technique répandue pour lutter contre l’acné de façon définitive. Le laser a pour principe de détruire les germes et d’agir sur les glandes sébacées.
 
 
 

Les bons gestes pour lutter contre l’acné

 
 
Il est vrai que l’acné résulte généralement des troubles hormonaux. Cependant, les microbes sont des éléments qui favorisent son développement. Il faut dans ce cas essayer d’assurer en matière d’hygiène. C’est la meilleure solution pour éviter les lésions qui s’installent au niveau de la peau.
 
 

Il faut par ailleurs faire attention sur l’alimentation. En effet, certains aliments comme les piments favorisent le développement de l’acné. Il faut donc éviter de manger des nourritures pouvant booster la production excessive du sébum. Les poissons qui sont riches en oméga 3 et les fruits qui sont riches en vitamines sont en tout à privilégier dans son repas quotidien.