Comment faire baisser la fièvre chez un enfant ?

Une température corporelle élevée chez un enfant ne signifie pas forcément qu’il a de la fièvre. Une température prise par voie buccale ne sera pas la même que celle prise par voie rectale ou encore sous l’aisselle. En cas de fièvre chez votre enfant, adoptez les bons gestes pour l’aider à se sentir mieux. Créer un environnement stable avec une température ambiante pour baisser sa température corporelle est également recommandé. Cela consiste à habiller l’enfant avec le strict minimum pour permettre à la chaleur de s’échapper. Par ailleurs, pensez aussi à hydrater régulièrement l’enfant et à prélever constamment sa température. Si la température ne baisse pas en dessous de 38,5 °C, envisager la prise de médicaments. Si l’enfant a moins de trois mois dans ce cas, utilisez du paracétamol avec une dose adaptée au poids de l’enfant soit 60 mg par kilo et par jour. Pour un enfant de plus de trois mois, utilisez soit de l’ibuprofène d’une dose de 20 à 30 mg par kilo et par jour soit du paracétamol d’une dose de 60 mg par kilo et par jour.

Doit-on consulter tout de suite un médecin ?

La consultation d’un médecin en cas de fièvre est nécessaire dans certains cas de figure. Cela dépend essentiellement de l’âge de votre enfant et des symptômes de la fièvre. Pour un enfant de moins de trois mois, consultez rapidement un pédiatre si sa température rectale atteint 38,1 °C ou plus. Pour un enfant de trois mois et plus, elle est nécessaire de passer par une consultation si l’enfant a une température rectale de 38,5 °C, 38 °C par voie buccale ou 37,5 °C par voie axillaire. La consultation d’un médecin est urgente si la forte température est accompagnée d’autres symptômes. On cite entre autres la déshydratation ou de l’accompagnement d’une diarrhée et de difficultés respiratoires. Observez également si la fièvre est accompagnée de vomissements ou si elle persiste plus de deux jours.

Les causes et les facteurs de risques de l’infection urinaire chez l’enfant

L’infection urinaire chez l’enfant peut avoir de nombreuses causes dont le reflux vésicourétéral résultant d’une anomalie du canal urinaire et qui fait refouler l’urine vers les reins.
Les facteurs de risques sont multiples, les plus marquants sont :
 l’hygiène des organes génitaux des nourrissons : les couches salies contiennent des bactéries qui peuvent infecter les voies urinaires ;
 la complication vésicale quand l’urine mal évacuée reste dans la vessie et rend propice la multiplication des bactéries ;
 la constipation : les selles non évacuées favorisent la multiplication des bactéries qui peuvent contaminer la vessie ;
 le phimosis : un prépuce trop serré n’aide pas à l’évacuation complète des urines ;
 la vulvite chez les petites filles qui peut être causée par les couches.
Les symptômes de l’infection urinaire chez l’enfant
o Élancements au niveau de l’abdomen ;
o Sensation de brûlure pendant le pipi ;
o Constante envie d’uriner ;
o Les urines ont une couleur sombre ;
o L’énurésie récidiviste ;
o Des ennuis de digestion.
Chez le nourrisson, il peut souffrir d’une infection urinaire quand :
o il a de la température sans cause apparente ;
o il a des ennuis de digestion ;
o il a l’air émoussé ;
o il s’amincit.

Le diagnostic de l’infection urinaire chez l’enfant

Un échantillon d’urine de l’enfant est prélevé sur une bandelette afin de repérer toute trace de sang ou de globules blancs. Ensuite l’ECBU ou Examen Cytobactériologique des Urines pose le diagnostic en identifiant le microbe responsable de l’infection.
Dans certains cas, une hyperleucocytose avec polynucléose, afin de déterminer la vitesse de sédimentation ainsi que la présence d’une C réactive protéine. Cet examen permet de différencier l’infection urinaire basse et l’infection urinaire haute.

Le traitement de l’infection urinaire chez l’enfant

Le traitement de l’infection urinaire chez l’enfant est à base d’antibiotiques, généralement des céphalosporines. Le traitement est effectué par intraveineuse pour un nourrisson, et nécessite donc une hospitalisation ; mais au-delà de deux (2) ans, le traitement peut être effectué par voie orale.

Qu’est-ce que la dyslexie ?

Quand votre enfant a du mal avec les mots et l’orthographe, sans aucun problème de vue et de l’audition, peut-être qu’il est dyslexique. Un enfant est dyslexique a des difficultés majeures sur la lecture et l’écriture, il a du mal à identifier les lettres. Souvent, on confond la dyslexie avec le retard du langage. Mais après quelques années, on peut le distinguer d’un simple retard à la dyslexie.

Quels sont les signes de la dyslexie ?

Si à partir de cinq ans, votre enfant a du mal à sortir une phrase complète ou est incapable de reproduire ou de différencier un son phonétiquement proche, vous devez vous poser des questions. Il peut aussi être difficile pour lui de mémoriser des mots ou de les différencier. Il peut se fatiguer rapidement quand il travaille et il peut être lent à l’apprentissage. Ce sont des symptômes de la dyslexie. Un enfant qui a du mal à se concentrer ou qui a une attention qui est vite dispersé est aussi sujet de cette pathologie. Le fait qu’il a des difficultés à comprendre un texte ou des consignes est aussi un signe.

Comment aider son enfant ?

Même si cette maladie est incurable, on peut rééduquer l’enfant. On peut diagnostiquer la dyslexie, en faisant des bilans neuropsychologiques en cas de doute. Pour aider son enfant, il faut l’amener chez l’orthophoniste. Avec les outils adaptés de l’orthophoniste, il peut l’aider à améliorer ses capacités à phonologique et l’aidez à acquérir des automatismes. Nous en tant que parent, on a aussi le devoir de stimuler l’enfant, de l’encourager et de le soutenir.

Il ne faut pas se culpabiliser, c’est une maladie comme tant d’autres. Il faut juste avoir de la patience et aider aux mieux nos enfants dyslexiques.

Nombre de parents ont tendance à négliger les maladies infantiles et ne consultent les médecins que lorsque celles-ci s’aggravent. Si certaines infections peuvent être dangereuses pour les petits, d’autres affectent aussi les grands qu’il convient de les connaître afin de les traiter à temps.

Les maladies infantiles en quelques mots

Il s’agit de maladies que l’on attrape fréquemment pendant l’enfance. À cet âge, le système immunitaire se développe progressivement et n’accomplit pas complètement son rôle de défense contre les infections et les virus. Bien que certaines sont bénignes, d’autres peuvent être graves selon l’âge de l’enfant. La varicelle, par exemple, peut être dangereuse pour les nourrissons, mais l’est moins pour les plus grands. On distingue en outre deux grandes catégories de maladies infantiles :

• Les maladies avec boutons : ce sont la rubéole, la rougeole, la roséole, la varicelle, la scarlatine, l’impétigo et le syndrome pied-main-bouche.
• Les maladies sans boutons : il s’agit principalement de la coqueluche, la bronchiolite et les oreillons.

Les maladies infantiles et les grandes personnes

Contrairement à ce que l’on peut penser, il n’y a pas que les petits qui sont vulnérables aux maladies infantiles. La rubéole, par exemple, ne se voit pas souvent chez l’enfant, mais si une future mère l’attrape, le bébé à naître pourra beaucoup en souffrir. D’autres maladies comme les oreillons et la rougeole peuvent causer de graves complications chez les ados et les adultes.

Les symptômes à vérifier

Comme toute autre pathologie, les maladies infantiles se manifestent par divers symptômes. Il est donc recommandé de consulter immédiatement un médecin lorsque votre enfant :

• a des boutons
• a une grosse fièvre au-delà de 38,5 °
• est somnolent : il est constamment à moitié endormi
• a une forte diarrhée ou vomit souvent
• se plaint d’avoir mal aux oreilles ou à la tête
• pleure ou tousse beaucoup

Comment protéger son bambin des maladies infantiles ?

La consultation d’un médecin est le premier réflexe à adopter en cas de doute ou de signes apparents. N’oubliez pas de faire remplir le carnet de santé de votre bambin à chaque consultation. En outre, la meilleure solution pour protéger les tout-petits des maladies infantiles reste la vaccination.

Pourquoi bébé a-t-il de la fièvre ?

La moindre poussée de fièvre laisse souvent les parents désemparés. Tout parent doit savoir que la fièvre est un moyen qu’utilise le corps pour combattre une maladie infectieuse. Quand la température corporelle de bébé augmente, cela signifie que son organisme met en marche ses défenses immunitaires contre des virus ou des bactéries. L’élévation de la température accélère la production par son organisme de globules blancs qui vont éliminer les agents infectieux. Les bébés ont souvent une poussée de fièvre en cas de rhume, de mal de gorge, d’otite après injection de vaccin… Un nourrisson bien portant a une température comprise entre 36,5° et 37,5°C. Il arrive que la température augmente un peu plus, mais le bébé continue à bien se nourrir, il n’est pas mou et est bien réactif. Dans ce cas, il est inutile de s’inquiéter.

Quand faut-il consulter ?

Vous sentez que votre bébé a de la fièvre ? Pour en être certaine, utilisez un thermomètre pour évaluer sa température. C’est un appareil que tout parent doit par ailleurs posséder. Un thermomètre frontal affiche le résultat en moins de 5 secondes. Très pratique, vous n’avez pas besoin de déshabiller votre bébé pour prendre sa température. Comme son nom l’indique, il vous suffit de diriger le thermomètre frontal au milieu de son front. Vous obtenez une valeur précise et fiable. Si le thermomètre frontal affiche une valeur supérieure à 39°C, et que bébé présente un comportement inhabituel, consultez un pédiatre. Une température persistante de plus de 24 heures chez un nourrisson doit également attirer l’attention des parents. Demandez toujours conseil à votre pédiatre avant d’administrer un médicament à votre bébé.

Les différentes méthodes contre l’acné

 
 
Il y a de multiples façons de guérir l’acné, dont les soins sont les plus connus. Pour les boutons d’acné à l’adolescence, il n’y a que le nettoyage qui s’avère le plus adapté. Il faut au moins le faire deux fois par jour en utilisant un savon doux ou bien un lait nettoyant.
 

Il existe aussi des plantes qui ont de grandes vertus en matière de traitement d’acné. Étant une méthode naturelle, la phytothérapie ou le remède à base de plante est de plus en plus prisé. Le pissenlit, la bardane et l’avoine sont les plus connus pour lutter contre ces boutons désagréables.
En cas d’acné avancée, les médicaments sont souvent recommandés. Ils sont à utiliser pour des traitements locaux. C’est le cas notamment des pommades et des crèmes. Ils se démarquent en tout cas pour leurs propriétés antiseptiques et antibiotiques.
 
 

Avec l’évolution de la technologie, l’utilisation de laser est devenue une technique répandue pour lutter contre l’acné de façon définitive. Le laser a pour principe de détruire les germes et d’agir sur les glandes sébacées.
 
 
 

Les bons gestes pour lutter contre l’acné

 
 
Il est vrai que l’acné résulte généralement des troubles hormonaux. Cependant, les microbes sont des éléments qui favorisent son développement. Il faut dans ce cas essayer d’assurer en matière d’hygiène. C’est la meilleure solution pour éviter les lésions qui s’installent au niveau de la peau.
 
 

Il faut par ailleurs faire attention sur l’alimentation. En effet, certains aliments comme les piments favorisent le développement de l’acné. Il faut donc éviter de manger des nourritures pouvant booster la production excessive du sébum. Les poissons qui sont riches en oméga 3 et les fruits qui sont riches en vitamines sont en tout à privilégier dans son repas quotidien.
 

Les causes et les symptômes de la diarrhée

La diarrhée est marquée par une émission de selle liquide abondante. Elle peut provoquer une réaction de fatigue grave à la victime à cause de la perte d’eau. Plusieurs sont les causes telles que les infections intestinales, l’hypersensibilité alimentaire, l’intolérance médicamenteuse ou une simple poussée dentaire. Elle est très facile à repérer puisqu’elle est marquée par des déjections liquides fréquentes et dans la plupart des cas accompagnées de vomissement et de forte fièvre.

Comment traiter et éviter la diarrhée ?

Généralement, cette maladie bénigne peut être évitée. Il faut juste donner au bébé des aliments sains et équilibrés. Tous les légumes et fruits doivent être lavés, bien cuits et mixés avec un bon appareil. Mieux vaut alors privilégier les bons ustensiles de cuisine-bébé comme le babycook.
En ce qui concerne les traitements, les remèdes classiques comme l’Odiva ou le soluté de réhydratation sont recommandés en attendant l’ordonnance du docteur. Côté alimentation, il faut donner beaucoup d’eau au bébé, de préférence de l’eau déjà bouillie. Il faut surtout éviter le laitage, les jus de fruit et les légumes verts. Privilégiez les compotes, les pommes de terre, la carotte et le riz. Si la situation ne s’améliore pas, ne tardez pas à consulter un médecin.

Miser sur une bonne alimentation

 
 
Une bonne alimentation c’est plus particulièrement l’ensemble des nourritures saines et équilibrées. À noter d’ailleurs que pendant les 6 premiers mois de grossesse, la valeur des besoins énergétiques augmente de façon considérable.
 

Pour avoir une santé de fer pendant la grossesse, il faut penser à manger beaucoup de fruits et légumes. En effet, ils contiennent des éléments riches pour le développement du petit et pour renforcer les défenses immunitaires.
 
 

Les aliments riches en glucides comme le pain, les pâtes et le riz sont aussi à favoriser durant les six premiers mois de grossesse. Mais les poissons sont d’autres types de nourritures à ne pas négliger pour les taux de protéines qui les composent. Riches en oméga 3, les poissons sont nécessaires pour le régime alimentaire des femmes enceintes. Ces nutriments agissent sur le poids du bébé à la naissance.
 
 
 

Favoriser la pratique d’exercices physiques

 
 
Le plus important pour rester en bonne santé pendant la grossesse est de savoir augmenter ses défenses immunitaires. Il faut savoir que les exercices physiques sont des moyens pour parvenir à cet effet. En faisant un peu d’exercice au lieu de rester trop passive, on évite le stress.
 
 

Les exercices sont en outre des moyens pour augmenter l’endurance et pour avoir la force nécessaire à l’accouchement. De plus, la pratique d’un peu de sport durant la grossesse est un outil pour combattre certains troubles liés à l’accouchement. Le plancher pelvien qui est constitué de muscles peut ainsi être plus résistant puisque les exercices physiques les tonifient.

Malgré les bienfaits des exercices physiques à la santé de la femme enceinte, il ne faut pas trop en abuser. Il faut y aller en douceur.